Audrey Gripping

     Si ma mère m'a transmis son amour de la lecture, c'est mon père qui, le premier, m'a donné le goût de l'imaginaire. Il m'a guidée pour mes premières rédactions, lorsque j'étais enfant. Des histoires ont alors commencées à germer dans ma tête. J'avais un tas d'amis imaginaires. Je me souviens qu'au collège, j'étais pressée d'aller me coucher pour continuer à inventer mon histoire. À l'époque, je n'écrivais que très peu, préférant garder mes récits dans ma tête. 

     En parallèle, mes goûts musicaux se sont clarifiés et c'est grâce à une amie que j'ai commencé à écouter du metal. Si je suis plutôt éclectique, je dois avouer que c'est mon style de prédilection. Cela m'a d'ailleurs poussée à prendre des leçons de guitare durant deux ans.

     Entrée au lycée, j'ai laissé cette passion de côté par manque de temps. Car, en plus de mes études, c'est au lycée que j'ai commencé à coucher mes idées sur le papier, sans oser les partager. Au fil des années, cette passion a pris de l'ampleur, jusqu'à cette histoire de loups-garous, commencée et jamais terminée, que j'ai écrite lors d'un séjour en Martinique. 

     Depuis, l'écriture ne me quitte plus. J'ai eu d'autres idées, d'autres sources d'inspiration, j'ai commencé à partager une fanfiction sur Wattpad, j'ai rencontré d'autres auteurs. Finalement, tout ça m'a conduite à écrire une nouvelle, mon premier récit édité, publié dans le septième numéro du mensuel érotique nommé "Le Carré d'Ass". 

     La machine est lancée.